Lancée en 2017, la Peugeot 5008 II marque un tournant pour la marque au lion. Exit le monospace compact des débuts, place à un SUV familial 7 places, au design affirmé et à la technologie embarquée ambitieuse. Sur le papier, le modèle a de quoi séduire : habitabilité record, comportement routier digne d’une berline, qualité perçue en nette hausse… Mais qu’en est-il de la fiabilité réelle du véhicule, notamment en occasion ? Quels sont ses points forts et points faibles ? Quels moteurs éviter ? Et que disent les propriétaires après plusieurs années d’utilisation ?
Les points forts de la Peugeot 5008 II : un SUV familial qui a de solides atouts
Depuis sa transformation en SUV 7 places en 2017, la Peugeot 5008 de seconde génération s’est forgée une réputation solide dans le paysage automobile européen. Elle se distingue par une série d’éléments qui séduisent autant les familles que les amateurs de conduite dynamique. Au fil des années, certains atouts sont devenus de véritables arguments de vente.
Un design moderne et affirmé
Le style de la Peugeot 5008 II tranche avec les lignes plus classiques de ses concurrentes. Dès son lancement, elle a su marquer les esprits grâce à une ligne athlétique, une calandre verticale élégante et des feux de jour à LED en forme de crocs caractéristiques du style Peugeot. Le restylage de 2020 a renforcé ce look distinctif, avec un design plus incisif, notamment à l’avant, qui la rapproche des dernières productions de la marque.
Le rendu global est dynamique et valorisant, ce qui contribue à la bonne tenue de sa cote en occasion. Contrairement à d'autres SUV familiaux, parfois jugés ternes, le 5008 assume une identité forte, sans tomber dans l’exubérance.
Une habitabilité remarquable pour un gabarit contenu
Avec ses 4,64 mètres de long, la 5008 réussit à proposer trois rangées de sièges tout en conservant une bonne maniabilité en ville. La modularité est l’un de ses grands points forts : les sièges de la deuxième rangée sont indépendants, coulissants et rabattables individuellement, tandis que la troisième rangée peut être complètement escamotée ou retirée.
Le volume de coffre, en configuration 5 places, dépasse les 700 litres, ce qui en fait l’un des meilleurs de sa catégorie. En version 7 places, le volume reste correct, et permet tout de même d’emmener quelques bagages. Cette polyvalence est particulièrement appréciée des familles nombreuses ou de ceux qui recherchent un SUV réellement fonctionnel au quotidien.
Une présentation intérieure soignée et technologique
Dès les versions d’entrée de gamme, le 5008 bénéficie d’un intérieur travaillé, avec des matériaux de bonne qualité et une finition globale sérieuse. L’ensemble est dominé par le célèbre i-Cockpit Peugeot, qui combine petit volant sport, instrumentation haute numérique et écran tactile orienté vers le conducteur. Ce poste de conduite divise parfois, mais il séduit la majorité par son côté moderne et immersif.
La version restylée a apporté son lot d’évolutions : écran central plus grand, interfaces plus rapides, commandes ergonomiques, mais aussi conduite semi-autonome de niveau 2, vision nocturne, ou encore compatibilité Android Auto et Apple CarPlay sur toute la gamme.
Un comportement routier au-dessus de la moyenne
Sur la route, le 5008 surprend par sa rigueur de tenue de route. Malgré son gabarit familial, il offre un plaisir de conduite proche d’une berline, avec une direction précise, un châssis équilibré et une suspension bien calibrée. Il se montre confortable sur les longues distances tout en restant agile en zone urbaine. C’est d’autant plus notable que peu de SUV 7 places parviennent à ce niveau de dynamisme.
Des motorisations bien choisies
Côté moteurs, la Peugeot 5008 II a proposé un panel large et cohérent, permettant de couvrir tous les usages : essence, diesel et désormais hybride léger avec la version e-DSC6. Parmi les blocs les plus recommandés :
- Le 1.6 PureTech 180 ch, qui combine souplesse et performance pour les trajets mixtes.
- Le 2.0 BlueHDi 150 ch, reconnu pour sa sobriété, sa robustesse et son excellent couple.
- Le 1.5 BlueHDi 130 ch, idéal pour ceux qui recherchent une motorisation diesel économique sans sacrifier l’agrément.
Ces motorisations, bien qu’ayant connu quelques défauts de jeunesse sur certains millésimes, ont été progressivement fiabilisées, et leurs consommations restent contenues pour un SUV de cette taille.
Un niveau d’équipement généreux
Peugeot n’a pas lésiné sur les équipements. Même sur les finitions intermédiaires (comme Allure ou GT Line), le 5008 propose déjà une dotation riche : aides à la conduite, caméras de recul, freinage automatique d’urgence, régulateur adaptatif, accès et démarrage sans clé, toit panoramique, ou encore sièges massants selon les versions.
Cette générosité dans les équipements est un avantage réel, surtout en comparaison avec certains modèles concurrents qui réservent leurs fonctionnalités avancées aux finitions les plus élevées.
Les points faibles de la Peugeot 5008 II : des défauts à connaître avant l’achat
Malgré ses nombreux atouts, la Peugeot 5008 II n’est pas exempte de défauts. Certains sont mineurs et relèvent du confort d’usage, d’autres peuvent en revanche impacter la fiabilité ou entraîner des coûts de réparation élevés. Pour les acheteurs d’occasion comme pour les conducteurs exigeants, il est essentiel de connaître ces points sensibles. Retrouvez l’intégralité des modèles Peugeot à éviter ici.
Une fiabilité perfectible selon les motorisations
Le 1.2 PureTech 130 ch, très répandu sur les modèles essence, a connu de graves problèmes de courroie de distribution sur les millésimes antérieurs à 2020. Cette dernière se désagrège dans l’huile moteur, ce qui peut boucher les crépines, priver la pompe à vide de lubrification et conduire à une casse moteur. Des rappels ont été effectués, et les véhicules postérieurs à 2021 semblent moins concernés, mais la vigilance reste de mise.
Autre exemple : le 1.5 BlueHDi 130, réputé fiable dans l’ensemble, peut souffrir de défauts de chaîne de distribution ou de pannes du système AdBlue. Ces pannes, souvent liées à la cristallisation de l’urée dans le réservoir ou à un injecteur défectueux, engendrent un message d’alerte et une perte de puissance.
Voici un tableau récapitulatif des principaux problèmes relevés par motorisation :
| Motorisation | Problèmes fréquents | Coût estimé des réparations |
|---|---|---|
| 1.2 PureTech 130 ch | Courroie dans l’huile, pompe à vide, casse moteur | 2000 à 5000 € |
| 1.5 BlueHDi 130 ch | AdBlue, chaîne AAC, capteur NOx | 1000 à 3000 € |
| 2.0 BlueHDi 180 ch | FAP fissuré, surconsommation d’huile | 1500 à 4000 € |
| 1.6 THP 165 ch | Chaîne de distribution, fuites de liquide | 1000 à 3000 € |
La boîte automatique EAT6 (présente sur les premiers modèles) a également fait l’objet de critiques. Plusieurs conducteurs ont signalé des patinages à froid ou des passages de vitesses brutaux, problèmes moins fréquents avec la boîte EAT8 qui l’a remplacée par la suite.
Une ergonomie discutée
Le poste de conduite i-Cockpit, bien qu’innovant, ne fait pas l’unanimité. Le petit volant placé en bas et l’instrumentation en hauteur déconcertent certains conducteurs, notamment les personnes de grande taille ou ceux qui n’arrivent pas à trouver une position confortable. Ce défaut n’est pas bloquant, mais mérite d’être testé avant achat.
De plus, la majorité des fonctions passent par l’écran tactile central, ce qui nuit à l’ergonomie générale. Même pour régler la climatisation ou activer certaines aides à la conduite, il faut naviguer dans des menus, ce qui oblige à quitter la route des yeux.
Des équipements parfois capricieux
Plusieurs retours utilisateurs et rapports de fiabilité mettent en avant des dysfonctionnements électroniques récurrents. Parmi les problèmes les plus fréquemment rencontrés :
- Bugs du système multimédia (GPS figé, écran noir, pertes de Bluetooth ou redémarrages inopinés)
- Capot vibrant à haute vitesse, notamment par vent latéral
- Pédale d’embrayage bruyante ou dure sur les boîtes manuelles
- Rétroviseurs électriques capricieux (ne se rabattent plus ou mal positionnés)
- Défauts d’ajustement de carrosserie ou de qualité des plastiques intérieurs sur certains modèles
Ces défauts ne concernent pas l’ensemble des véhicules, mais ils témoignent d’un niveau de finition parfois inégal, surtout sur les versions produites avant 2020.
Des coûts d’entretien et de réparation à anticiper
Si la consommation du 5008 reste raisonnable, certains frais peuvent vite grimper en cas de panne. Le remplacement d’un réservoir AdBlue, d’un FAP fissuré ou d’une distribution complète représente plusieurs milliers d’euros.
De plus, certains utilisateurs signalent une usure prématurée des pneus et des grincements de trains roulants dès 60 000 km, ce qui implique des révisions plus fréquentes qu’attendu. Retrouvez comment bien choisir ses pneus ici.
L’avis des acheteurs : entre enthousiasme et déceptions
Lancée en 2017, la Peugeot 5008 II s’est rapidement imposée sur le marché des SUV familiaux. À mi-chemin entre monospace et SUV 7 places, elle attire un public familial exigeant, souvent en quête d’un véhicule spacieux, confortable et moderne. Mais au-delà des fiches techniques et des essais presse, qu’en pensent réellement les utilisateurs au quotidien ? Retour sur les avis les plus représentatifs, recueillis sur des plateformes spécialisées et forums automobiles.
Une voiture plébiscitée pour sa modularité et son confort
La grande majorité des propriétaires saluent l’espace intérieur généreux offert par le 5008 II. Les 7 vraies places et la possibilité de reconfigurer les sièges indépendamment séduisent particulièrement les familles nombreuses. L’habitabilité est souvent décrite comme l’un des meilleurs atouts du véhicule, notamment grâce à ses trois sièges indépendants en rang 2 et à son coffre de 780 L en configuration 5 places.
Plusieurs témoignages évoquent également un agrément de conduite élevé, surtout pour un véhicule de cette taille. La direction précise, le châssis dynamique et la boîte EAT8 (boîte automatique à 8 rapports) sont régulièrement mentionnés comme des éléments de confort et de fluidité en usage quotidien. Le silence à bord, le niveau d’équipement technologique (vision nocturne, régulateur adaptatif, conduite semi-autonome) et l’ambiance intérieure moderne sont aussi valorisés.
"Je suis très satisfait de ma voiture. Révisions régulières, consommation stable autour de 6 L, et jamais de panne majeure en 5 ans d’utilisation. Les sièges arrière sont parfaits pour les enfants et le coffre est gigantesque. Je recommande sans hésiter." — Témoignage propriétaire 1.5 BlueHDi 130 GT Line, 2019
Des retours plus contrastés sur la fiabilité
C’est sur le plan mécanique que les avis sont les plus divisés. Certains utilisateurs rapportent une expérience sans encombre, même après plusieurs dizaines de milliers de kilomètres. Mais une autre partie des témoignages fait état de pannes importantes sur des véhicules relativement récents (moins de 60 000 km). En tête des reproches : la courroie de distribution du moteur PureTech, les problèmes d’AdBlue sur les diesel, et quelques cas de casse moteur inexpliquée, souvent non pris en charge par le constructeur.
"Courroie de distribution à changer à 35 000 km, sans signe avant-coureur. Refus de prise en charge de Peugeot malgré carnet d’entretien complet. Grosse déception pour une voiture à ce prix-là." — Propriétaire 1.2 PureTech 130 EAT6, 2017
Cette divergence d’expériences montre bien la sensibilité de certains moteurs à des défauts de conception. Si les séries les plus récentes semblent avoir corrigé les failles mécaniques des premiers millésimes, de nombreux acheteurs évoquent une perte de confiance envers la marque à cause d’un service après-vente jugé parfois insuffisant.
Une côte qui reste élevée en occasion malgré les critiques
Sur le marché de l’occasion, la Peugeot 5008 II conserve une très bonne valeur résiduelle, ce qui témoigne d’une demande forte. Les finitions GT Line et GT sont les plus recherchées, surtout avec la boîte EAT8. Les modèles diesel, bien que moins à la mode, restent appréciés des gros rouleurs.
Cette bonne tenue en cote peut être un avantage pour la revente, mais implique aussi un coût d’acquisition plus élevé qu’un SUV concurrent équivalent. De nombreux acheteurs justifient leur choix par le rapport espace/équipement/prix que propose le 5008 par rapport à des modèles allemands plus onéreux.
Ce qui différencie la Peugeot 5008 II de ses concurrentes
Sur le marché des SUV familiaux 7 places, la Peugeot 5008 II évolue dans une catégorie hautement concurrentielle. Entre le Skoda Kodiaq, le Volkswagen Tiguan Allspace, le SEAT Tarraco, le Renault Espace ou encore le Kia Sorento, les alternatives ne manquent pas. Pourtant, le 5008 parvient à tirer son épingle du jeu en cultivant des choix techniques et esthétiques distinctifs. Décryptage des éléments qui font la différence.
Un style audacieux et une présentation intérieure unique
L’un des atouts majeurs de la Peugeot 5008 réside dans son design à la fois dynamique et élégant. Contrairement à d'autres SUV familiaux souvent jugés plus conservateurs (comme le Volkswagen Tiguan Allspace ou le Skoda Kodiaq), le 5008 affiche une signature visuelle affirmée. Le restylage de 2020 lui a permis de renforcer cette identité avec l’introduction des feux à LED façon “crocs”, déjà aperçus sur la 208 et la 508.
Mais c’est surtout dans l’habitacle que la différence est marquante. Le système i-Cockpit (petit volant, instrumentation digitale en hauteur, tablette centrale orientée vers le conducteur) crée une expérience de conduite immersive et moderne, sans équivalent sur le marché. Là où un Tarraco ou un Espace jouent la carte du classicisme, Peugeot assume un intérieur presque futuriste.
Une approche modulaire plus poussée que la concurrence
La modularité des sièges est un autre point de distinction. Tandis que nombre de SUV 7 places offrent une banquette arrière fixe, la Peugeot 5008 mise sur trois sièges indépendants, coulissants et inclinables au second rang. Cette configuration, héritée de son passé de monospace, séduit les familles avec plusieurs enfants.
Le troisième rang, bien que réservé à des passagers de petite taille ou à un usage occasionnel, a le mérite d’être intégralement escamotable dans le plancher. Le volume de coffre atteint ainsi jusqu’à 780 litres en configuration 5 places, un score rarement égalé dans cette catégorie.
Un comportement routier plus affûté
Contrairement à la plupart de ses rivales, la 5008 mise sur un comportement routier inspiré des berlines. Son châssis dynamique, hérité de la plateforme EMP2 du groupe Stellantis, fait la différence sur route. La direction précise, le roulis bien contenu et la boîte automatique EAT8 fluide en font un véhicule agréable à conduire, même dans sa version longue.
Certains concurrents comme le Kodiaq ou le Sorento privilégient davantage le confort moelleux ou la puissance brute (notamment en version 4 roues motrices), mais au prix d’un ressenti de conduite plus fade. Le Peugeot 5008, lui, parvient à offrir un équilibre convaincant entre dynamisme et confort.
Une offre de motorisations moins variée
Si la 5008 propose une gamme complète de motorisations essence et diesel (de 130 à 180 ch), elle reste en retrait sur le plan de l’hybridation. Contrairement à des modèles comme le Renault Espace, le Kia Sorento ou même le Toyota Highlander, elle n’a pas bénéficié, jusqu’en 2023, d’une version hybride rechargeable. Cette absence a longtemps été un frein pour les conducteurs urbains ou soucieux de leur empreinte environnementale.
Peugeot a depuis introduit une hybridation légère sur certains modèles, mais elle reste moins avancée technologiquement que les propositions concurrentes. Ce choix stratégique a permis de maintenir les coûts contenus, mais peut constituer un point faible face à une clientèle de plus en plus tournée vers le tout-électrique ou l’hybride.
Un bon rapport prestations/prix malgré tout
Côté budget, le 5008 se positionne entre les généralistes et les premiums. Si son prix neuf peut paraître élevé pour une marque comme Peugeot, il reste plus abordable que les modèles allemands à équipement équivalent. Sur le marché de l’occasion, la 5008 conserve une très bonne valeur résiduelle, notamment sur les finitions GT Line et GT, très demandées.
Voici un tableau comparatif simplifié pour visualiser les différences entre quelques modèles concurrents :
| Modèle | Longueur | Modularité siège 2e rang | Hybride disponible | Volume de coffre (5 places) |
|---|---|---|---|---|
| Peugeot 5008 II | 4,64 m | 3 sièges indépendants | Non (sauf hybride léger) | 780 L |
| Skoda Kodiaq | 4,70 m | Banquette 60/40 | Oui (hybride rechargeable) | 720 L |
| Renault Espace 6 | 4,72 m | Banquette 60/40 | Oui (E-Tech full hybride) | 581 L |
| Kia Sorento | 4,81 m | Banquette coulissante | Oui (hybride et PHEV) | 616 L |
Verdict
La Peugeot 5008 II a su s’imposer comme l’un des SUV familiaux les plus appréciés du marché grâce à son design audacieux, son habitacle modulable et son agrément de conduite bien au-dessus de la moyenne. Son succès commercial, notamment en version GT Line, témoigne d’un positionnement malin entre les marques généralistes et les constructeurs premium.
Mais cette réussite ne doit pas masquer certains points de vigilance. Tous les moteurs ne se valent pas, et plusieurs versions — en particulier les premiers millésimes du 1.2 PureTech ou du 2.0 BlueHDi — présentent des fragilités mécaniques documentées, souvent coûteuses à réparer. En revanche, les versions plus récentes ou certaines motorisations comme le 1.6 PureTech 180 ch et le 1.5 BlueHDi 130 ch, bien entretenues, offrent un bon compromis entre performance et fiabilité.
Enfin, pour ceux qui achètent un modèle d’occasion, la prudence reste de mise : exiger un entretien rigoureux, vérifier les rappels constructeurs et envisager, pour plus de sérénité, une garantie panne mécanique comme celle proposée par Linkar peut s’avérer judicieux. Avec une bonne dose de discernement, le 5008 II reste un choix pertinent pour les familles exigeantes à la recherche de polyvalence et de confort.
Foire aux questions (FAQ)
La Peugeot 5008 II est-elle fiable ?
Globalement, oui, mais avec des nuances. Certains moteurs (notamment les 1.2 PureTech avant 2019 et les 2.0 BlueHDi 180) ont connu des défauts récurrents, comme des problèmes de courroie de distribution, de consommation d’huile, ou encore des défaillances du système AdBlue. D’autres, comme le 1.6 PureTech 180 ou le 1.5 BlueHDi 130, sont réputés plus robustes, à condition d’un entretien rigoureux.
Quelle motorisation est la plus recommandée ?
Les experts s’accordent à recommander :
- En essence : le 1.6 PureTech 180 ch, notamment après 2018.
- En diesel : le 1.5 BlueHDi 130 ch ou le 2.0 BlueHDi 150 ch. Ces motorisations offrent un bon équilibre entre fiabilité, consommation et agrément de conduite.
Quelle est la durée de vie moyenne du modèle ?
Avec un entretien suivi et l’évitement des motorisations les plus problématiques, un 5008 II peut facilement dépasser les 200 000 km. La plateforme EMP2 et la majorité des composants mécaniques sont conçus pour durer, mais tout dépend de l’usage et de l’historique du véhicule.
Est-il judicieux d’acheter une Peugeot 5008 II d’occasion ?
Oui, mais pas n’importe laquelle. Il faut privilégier :
- Les modèles après 2019, bénéficiant des dernières évolutions.
- Les véhicules avec historique d’entretien complet.
- Les finitions GT ou GT Line, souvent mieux équipées et mieux suivies.
Existe-t-il des garanties complémentaires pour se couvrir en cas de panne ?
Oui, des entreprises comme Linkar proposent des garanties panne mécanique couvrant jusqu’à 15 000 € de réparations. Ce type de garantie peut s’avérer utile pour sécuriser un achat d’occasion et éviter les mauvaises surprises.
